humiliation

Samedi 1 janvier 6 01 /01 /Jan 21:03

trois jours après cette soirée mémorable ou j’ai servi de trou a jus a mon futur beauf Farid, sur proposition de mon frangin Remi, Farid est passé à la maison poursuivre les préparatifs du mariage ; l'ambiance semblait assez tendue avec notre frangine, sur des détails, et Farid a pris le temps de venir dans notre piaule discuter ; j'étais assez gêné et ne savais pas bien comment nos échanges allaient désormais s dérouler, et j'ai vite vu ce qu'il en était : Farid m'a directement passé une paluche sous le jogging et dans le shorty, et a poussé ses doigts fermes sur ma rondelle en me disant "alors salope, t'es reposée ou t'a encore mal ?" ; ce contact sur ma rondelle et ces propos m'ont fait me cambrer par réflexe et couiner, et Farid a poussé 2 doigts à donf "ouah ça passe bien sale chienne !" ; et tout en me fouillant violemment, il a demandé à Remi "et toi t'en profites bien de cette lope de reuf ?" ;  Remi a dit que non, qu'il aimait mieux les meufs et n'était pas PD ; Farid a sorti ses doigts d'un coup pour me les coller dans la bouche en disant "ben moi non plus je suis pas PD, je vénère un max votre frangine, mais me faire pepom par ce type de bâtard ou l'enfiler en force, c'est pas mal non plus ! d'ailleurs je vais te la faire tester, tu vas voir, on se fait un footing entre meks avec cette chienne-là ?" ; et hop, on est sortis pour ce footing, et dans l'ascenseur Farid m'a dit "à 4 pattes salope, tu vas vénérer ton reuf bâtard !" en me poussant vers le  sol et en dirigeant ma chetron vers l'entrecuisse de mon frangin, dont j'avais tant rêvé ! Remi a poussé son corps dans ma direction et m'a chopé la nuque pour caler ma gueule sur son morceau que je sentais tout dur ; l'ascenseur s'est arrêté et ils m'ont tiré dehors et traîné à 4 pattes dans le couloir des caves au 2e sous-sol ; Farid semblait bien connaître les lieux et je me suis retrouvé jeté sur un tas de cartons, la tête plaquée dessus par une paluche de Farid, tandis que de l'autre il me mettait le cul à l'air en arrachant jogging et shorty jusque sur mes chevilles ; "allez salope donne le ce cul à ton reuf ! vas-y Remi, nike le profond, il a une chatte de rêve ton petit thibeau !" ; et ce dont j'avais souvent rêvé se produit, mon reuf sort sa teub du jogging et se couche sur moi pour m'enfiler, devant le mek de notre frangine ; Farid est passé sur le coté pour bien me caler contre lui et éviter que je bouge sous les coups de reins de Remi, qui visiblement en avait super envie de ma chatte, à le sentir en moi et à l'entendre râler tout en me défonçant profond et violent ! tout ça m'a fait décoller grave et avec le frottement de ma teub sur les cartons, j'ai giclé très vite en couinant, sans parvenir à me retenir de gémir "ouah Remi !" ;
Farid m'a dit "allez bâtard souviens-toi, c'est pas fini quand t'as joui, fais nous tes commentaires là de te faire niker par ton reuf, allez dis nous tout, ne t'arrête pas, dis le que t'es qu'un sale bâtard !" ; il m'a frappé sur les cuisses pour me convaincre d'obéir et dans un souffle, entre les coups de reins de Rémi, alors que j'étais moins excité après avoir giclé, j'ai dis "oui je suis un sale bâtard, je suis la chienne de mon reuf et de mon beauf dans une cave, je suis la salope qui se donne du cul aux ordres du beauf, j'en veux encore des coups de reins de mon reuf" ; Remi s'est excité encore plus "putain thibeau t'es qu'une sale chienne je vais te casser à donf!" et il s'est mis à concrétiser ses paroles, sous les coups de paluche de Farid qui m'explosait les cuisses en m'insultant aussi ; j'ai senti Remi explosé en moi et Farid lui  a dis "t'as vu Remi comme cette chatte de ton reuf elle vaut le coup !" ; Remi a confirmé et s'est retiré d'un grand coup en m'arrachant un cri "ferme ta gueule bâtard t'aime trop ça te faire trouer" ; et l'instant d'après, encore tout fourbu de ces coup de reins, je devais courir seul le footing annoncé, Farid et Remi restant dans le hall à m'attendre ; à mon retour après 20 mn, ils étaient toujours là mais avec 2 black à qui Farid a dis "le voilà ce cul de salope musclée men !" et à mon intention "tu connais le chemin bâtard, en place sur les cartons le cul à l'air, je vais pas toujours être là pour te mettre oilpé non plus !" ; je suis resté un instant interloqué à me voir dans mon hall d'immeuble,en sueur après le jogging, déjà baisé - pour la 1e fois - par mon reuf juste avant, à peine quelques semaines après mes 18 ans, exploité sans pudeur par mon beauf rebeu qui annonce à la cantonade que je dois aller me mettre le cul à l'air dans les caves pour être baisé par deux blacks qui attendent leur proie ! et devant mon frère de 20 ans qui me regarde d'un air méprisant, mais dont je viens de tester la puissance de coups de reins ; ce moment de "réflexion" me vaut un claquement de ceinturon sur le cul, administré par Farid, qui s'impatiente de m'observer ne pas obéir ; il a emprunté le ceinturon de cuir d'un des blacks, me pousse après le 1e coup, donné à travers le jogging, vers les escaliers du sous-sol, et me baisse en même temps le jogging aux chevilles pour me frapper la peau directement ; quelques instants plus tard, mon shorty craque vraiment et c'est sur mes couilles et mon cul que je ramasse le cuir du ceinturon ; "bâtard tu vas obéir un jour ?" me dit Farid en me poussant dans la cave et en me cognant les couilles comme un ouf "je passe pour quoi moi devant les clients sale chienne ?" ; à la fois affolé de sa violence et très excité - je réalise que j'ai une trique d'enfer ! - je gémis "pardon maître" ce qui excite encore plus Farid qui me tourne à plat ventre pour me faire rougir le cul, cela me chauffe et je sens la lanière me marquer la peau, mais je sers les dents ; les coups s'arrêtent à l'arrivée des blacks, qui me nikent à tour de rôle en alternant entre bouche et cul leur deux tiges énormes, avant de me la coller ensemble au cul dans un hurlement que je ne peux retenir tant leur double queue me dilate la rondelle ; mon reuf, qui avait tout maté depuis le dépoilage dans le hall, s'est approché de moi avec un air simulé de pitié ; j'ai cru retrouver le grand frère exigeant mais protecteur, mais j'ai vite déchanté : il m'a hurlé "ta gueule thibeau, t'encaisse les queues c'est tout, t'as encore à apprendre pour être exemplaire avec les clients sale pute, deux beaux blacks te vénèrent ton fion de merdeux et tu trouves le moyen de gueuler comme si t'avais mal et que tu supportais pas ! je rêve ou quoi !?" j'ai ramassé une grande claque derrière la tête à l'appui et il m'a lâché "t'es prié de te remettre à couiner comme la chienne que t'es ou ça va barder que tu auras là de multiples bonnes raisons de gueuler compris ?" j'ai dit oui dans un souffle et ai obéi en couinant sous les coups des blacks qui n'arrêtaient pas et m'écartelaient encore plus ; heureusement, la posture les a fait jouir tous les deux et ils se sont retirés non sans m'arracher la rondelle une dernière fois ; Farid qui s'était absenté est revenu juste à leur départ et j'ai pu les entendre lui dire que j'étais bonne mais que j'avais encore des progrès à faire ; Farid est venu dans la cave, il a sorti sa teub, très excité, et me l'a planté sans rien dire, à me pilonner profond et ample pour quelques minutes avant de se les vider et de me dire "ben y'a du taf encore salope avant que tu sois exploitable, on va intensifier l'entraînement, allez poil toi et au dodo" ; étais sonné, j'avais été baisé par mon reuf, humilié, frappé, offerte en tepu, le tout en moins de 2 heures......

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Jeudi 30 décembre 4 30 /12 /Déc 09:18

8 jours avant son mariage avec ma soeur, Farid (25 ans) a organisé avec ses potes son enterrement de vie de garçon, et j'ai été invité avec mon frère Remi ; j'avais juste 18 ans et l'idée d'une fiesta entre mecs me plaisait assez ; je me suis retrouvé dans un petit appart rempli pour l'essentiel de rebeus, potes ou cousins de Farid ;

On devait être une quinzaine, bonne ambiance, boissons et musiques.....

vers 22h, au milieu d'un groupe, un mec demande à Farid si ça va pas lui manquer de baizer à droite et à gauche, en ajoutant que c'est dommage de pas avoir prévu de quoi baiser ce soir pour finir en beauté ; Farid a rigolé en approuvant et  interpellé Remi "alors rien à m'offrir à baiser ce soir avant de m'offrir la frangine ?" ; très à l'aise, Rémi lui répond aussitôt "si ça te tente, tu peux sans problème baiser le petit cul de Thibeau, t'auras le reuf puis la frangine comme ça !" ; quelques mecs ont sifflé, j'ai senti des paluches fermes sur mon cul et j'ai croisé le regard brûlant de Farid qui s'est avancé vers moi en disant "ça peut être sympa de se faire les deux femelles de la famille" ; déjà sur moi, il a serré ma nuque d'une paluche ferme pour me baisser la chetron sur sa teub, juste sortie de son jean "tiens fais moi bander salope, montre si tu sais faire comme ta soeur", j'ai récupéré un bon morceau propulsé en fond de gorge, j'ai senti mon cul mis à l'air et de suite des doigts me fouiller la chatte, des mollards s'écraser sur

mon cul et des commentaires sur mon caractère de chienne ; c'est clair que, dans l'ambiance, je couinais déjà à couvrir la musique aux plus proches qui m'encerclaient ; soudain j'ai senti qu'on me faisait pivoter et le bras de Farid m'a serré la taille, son corps s'est projeté contre le mien, sa teub me forçant la chatte puis le fond du trou en force ; il a gémi "putain cette chatte elle est bonne t'es meilleure que ta frangine sale bâtard! " et m'a claqué les cuisses de son autre paluche ; en levant les yeux, j'ai croisé le regard méprisant de mon reuf qui me regardait me faire niker par le mec de notre frangine au milieu de ses potes qui l'encourageaient et m'insultaient ; Farid a fini par exploser son jus de male dans mon cul, et s'est retiré dans coup sec qui m'a chauffé la rondelle une nouvelle fois et m'a fait couiner; "ça c'est un couinement de chienne qui appelle encore le male hein bâtard?" a dit Farid en ajoutant "à qui le tour ?" et se plaçant de coté contre mes hanches pour me tenir le cul offert et cambré ; j'ai ainsi senti passé 6 ou 7 queues à la suite, toutes bien remplissantes en largeur et profondeur, certains explosant à m'ensemencer quand d'autres sortaient pour vider leur foutre dans ma gorge, sur mes lèvres.... ; Farid était très excité, il m'a beaucoup insulté, mollardé la chetron, manipulé les hanches pour mieux m'offrir à ses potes et cousins, m'a donné encore sa teub à pépom et m'a de nouveau bourré le cul pour finir, debout plaqué au mur, par me casser la rondelle en me forçant de son gland charnu qui me labourait, le laissant juste à cet endroit avec de petits mouvements secs d'avant en arrière, dont je ne voyais plus la fin ; son kiff - comme j'ai pu le savoir ultérieurement - était d'arriver à me voir dépasser le stade du plaisir et tomber dans la souffrance de ma chatte explosée par tous ces baizeurs, avec finition de sa part, à me distendre encore la rondelle par étirement latéral et frottements ; c'est là ou il m'a amené avec son ardeur, je me suis mis à gémir de pitié, devant mon reuf toujours à m'observer et les quelques mecs qui restaient encore ; Farid a dit "ben Rémi il est pas résistant ton bâtard de cadeau !" tout en me tirant en arrière pour me conduire à la table de cuisine, ou il m'a fait coucher sur le dos, m'a relevé les pattes en me tenant ferme aux chevilles placées vers ses épaules ; mon reuf m'a dit "putain Thibeau donne le à Farid ce cul de bâtard que t'as" et Farid a rigolé "t'inquiète pas Remi c'est pas en demandant pitié qu'il va me calmer, c'est plutôt la misère que je vais lui faire à ton frangin, je déteste la pitié et vaut mieux que je l'entraîne à bien se donner en le forçant à être plus endurant à chaque tournante que je vais lui imposer, regarde ça cette chatte à exploiter qu'il présente !" ;

et Farid est parti dans des va-et-vient hyper puissants, amples et durs, qui ont continué de me faire souffrir, à son immense plaisir ; et d'autant mieux que mon reuf a poussé la perversité à me branler efficacement la queue pour m'amener à jouir en m'inondant de sperme sur le torse, jus qu'il m'a tartiné sur les lèvres et la langue en me disant de me nettoyer et en poussant Farid à poursuivre malgré tout à me démolir le boule "à ce stade post-jouissance ou il est le moins demandeur, ça lui fera le mental !" ; Farid a confirmé qu'il allait pas s'arrêter parce que j'avais joui, que était pas le bâtard qui commandait, et pour une des premières fois ou je me faisais baiser, j'aurais vraiment voulu qu'il arrête ; mais Farid, dont je mesurai alors les performances, a continué à me pilonner à grande vitesse pendant 10 longues minutes avant de me remplir en m'insultant, le regard noir au-dessus du mien ; il est resté en moi encore quelques minutes à reprendre son souffle, sa queue était encore ferme quand il a passé ma rondelle, me faisant gémir - une dernière fois je pensais... ; en fait, il  s'est reculé en me posant les pieds sur la table, jambes repliées, a remballé sa queue dans son jeans, a fini une bouteille de Schweppes, et est revenu sur le coté en me disant "sacré bâtard t'es chaude encore hein ?" ; sans demander pitié, j'ai soupiré en m'étirant pour signifier ma lassitude et c'est à ce moment de relâchement que j'ai senti la froideur du goulot de la bouteille sur ma rondelle, trop tard pour tenter de lui résister; il a alors usé de son pouvoir sur moi en jouant à m'enfoncer la bouteille dans la chatte, en la vrillant, en allers-retours violents, en la poussant à grands coups de poings brusques.... ; je me tortillais sur la table, entièrement sous son emprise, il ne restait plus que 2 ou 3 mecs éméchés qui se marraient et poussaient Farid à continuer ; cela a duré environ un quart d'heure au bout duquel j'ai pris sur moi de réclamer à nouveau pitié pour qu'il arrête ; il a alors retiré la bouteille d'un coup sec, s'est penché sur moi en me hurlant au visage "arrête là bâtard à la seule condition que ta chatte soit à ma disposition tant que j'en voudrais, y compris pour te faire baizer en tepu dans le bois, sur les quais ou aux chiottes, d'accord ?" ; j'ai dis "oui promis" dans un souffle et il m'a fait croire qu'il avait un voisin rebeu de 60 ans à satisfaire de suite, comme je l'avais promis ; mais il a rigolé et m'a jeté sur le palier en me lançant mes fringues et cette menace "surveille tes SMS bâtards et obéi à mes ordres, t'as promis !"

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Mardi 9 novembre 2 09 /11 /Nov 08:07

 

et voici la suite de mon 1e entrainement de hand....

 

En bon soumis, j'ai à peine relevé les yeux vers les co-équipiers, pour leur montrer que j'avais capté leur message, tout en restant en position d'humilié qui ne peut que baisser les yeux pendant qu'il vénère le captain en lui nettoyant les skets à grands coups de langue. "t'as vu comme je l'ai amené en sous-merde le grand bogosse qui pensait la ramener en étant le petit nouveau ?" bonne rigolade des 3 potes "et vous alors, montrez moi comment vous vous placez en adjoint du captain, que cette larve doit aussi respecter ?" là j'ai compris qu'il ouvrait le concours par lequel ils allaient rivaliser à m'humilier. Le 1e à se lancer est resté dans la veine classique, en me forçant à sniffer l'intérieur de mes skets tout en disant merci. Le second a lui glissé vers plus vicelard et pervers,en partant du principe, bien visible encore, que tout ceci me faisait bander, et que j'y prenais gout : je devais donc le vénérer en lui prouvant qu'il me faisait kiffer, c'est-à-dire en jouissant le plus vite possible, par tout moyen de mon choix ; j'avais une barrière à 3 minutes au-delà de laquelle "il me démolissait les couilles, puisque inutiles" ;  jusqu'à 3 minutes, cela montrait mon allégeance, calculée en seconde, et je verrais bien comment il en tiendrait compte.
3 minutes de branle, ça parait long ! mas il faut se remettre en situation : je venais d'être humilié par le captain et un autre, leurs ricannements et commentaires ne m'aidaient pas, et j'étais à genoux devant eux ; sans compter que, dans un coin de ma tête, l'idée de mefaire démolir les couilles me plaisait aussi ! J'ai quand-même essayé de me palucher la teub en pensant que je pourrais peut-être un jour me taper la leur, et quand j'ai fini par balancer ma purée au sol, il a annoncé 2 mn 50 ! le captain lui a dis : "alors, 10 sur 180, tu juges ça comment comme degré de vénération ?" et il est parti d'un grand rire montrant que le mek s'était pas fait respecté, tout en tournant les talons pour quitter le local sans attendre sa réponse. L'autre mek l'a suivi aussi, ce qui a mis le dernier en rage, de se retrouver en tête à tête avec celui qui aurait du le classer comme numero 2 ou 3, juste derrière le captain.
Il a donc commencé, logiquement, à me pousser la chetron dans mon foutre "commence par tout nettoyer batard !". Je n'étais plus très excité, venant de jouir, et sa violence verbale et physique m'inquiétait un peu. J'ai néanmoins mis de l'ardeur à récupérer mon sperme, épais et collant, déjà un peu refroidi, répandu au sol, en faisant beaucoup de bruit des lèvres pour lui montrer comme je lui obéissais bien. Il a d'ailleurs dit "ah tu vois je sais me faire obéir". Ca l'a pas empêché d'aller décrocher du mur une sangle en cuir servant à ranger des accessoires pour venir m'en coller une série de coups entre le haut des cuisses, la raie du cul et ma queue qui bandouillait encore. J'ai gémis en continuant à lécher le sol. "ta gueule batard ! tu vas regretter de pas m'avoir vénéré à temps ! " D'un coup de skets bien placé dans mes boules, il m'a fait retourner sur le dos et m'a alors claqué les couilles avec la sangle. J'ai résisté en me mettant de coté et en resserant mes cuisses, mais il m'a refilé des coups de skets "reste offerte en chienne les pattes écartées salope !" Par soumission, et réflexe de chienne en effet, je suis alors resté sur le dos, cuisses écartées, offrant ma queue et mes boules à sa sangle, en gémissant "pitié". J'étais capable d'endurer encore plus etj'ai d'aileurs bandé à nouveau, mais il a cessé de me frapper en exigeant que je gicle à nouveau pour lui. J'étais excité et cette fois-ci, ma branlette sur le dos m'a fait exploser en moins d'une minutes,comme il l'a confirmé. Et alors que ma semence,plus liquide mais encore abondante, se répandait sur mon torse et venait se coller à mes poils, j'ai entendu des applaudssements. Le captain et son second étaient revenus assister à la scène avec 2 autres meks, et le félicitaient de ma punition et d'avoir été obéi.
J'ai eu un peu honte que 2 autres meks voient cette scène, mais c'était le bizutage pour intégrer ma nouvelle équipe ! Le captain a pris mon maillot "essuie ton jus sale chienne, tu dégouline de partout et casse toi on t'a assez vu pour aujourd'hui".
Je me suis repoilé vite fait et ai juste repris mon sac dans le vestiaire avant de filer chez moi me doucher, enfin !

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Dimanche 31 octobre 7 31 /10 /Oct 08:59

Cette année-là, ayant déménagé, je me retrouve dans un nouveau club de hand, ma passion ! J'adore ce sport que je trouve super viril et physique, et qui m'a toujours procuré beaucoup de sensations, et pas seulement sur le terrain ! J'avais des potes très proches dans mon équipe de toujours, avant ce putain de déménagement ! Faut dire que c'est dans notre vestiaire de hand que mon pote Greg m'a formaté le cul en premier, et que c'est avec la plupart des co-équipiers que j'ai servi de vide-couilles, ce qui avait fini par créer des liens ! Et là, qui allaient etre mes nouveaux co-équipiers ? J'ai fait leur connaissance au 1e entrainement, bonne ambiance entre eux, mais bizutage en règle pour moi : chocs physiques presque toujours douloureux, soit avec le ballon, soit par contacts directs ; balles difficiles à suivre provoquant un flot d'insultes à chaque loupé ; et, bien sûr, corvée finale du rangement du matos dans le local technique : c'est là que je me suis d'emblée "frotté" au caid de la bande, qui a voulu me montrer qui commandait. C'était un turc, regard noir, musclé et sentant fortement le male. Il m'a suivi dans le local et m'a dit comment ranger les cages, les ballons, les accessoires de muscu... Il faisait chaud et cet exercice physique supplémentaire m'a conduit à retirer mon maillot pour rester torse nu, le short descendu à moitié sur un shorty dim violet, lui-meme dévoilant ma raie de cul, comme c'est classique chez moi. Le pote m'a de suite montré comme il allait me diriger en disant que j'avais mal rangé les ballons, puis les cages, prenant un vrai plaisir à me les faire déplacer de quelques mètres dans un sens puis l'autre, sans m'aider, à se marrer de voir ma sueur couler et ma difficulté. Au x-ieme mouvement, j'ai exprimé mon ras-le-bol, meme si je trouvais tres excitant d'etre humilié ainsi dès le 1e jour. Le pote a vite réagi en me montrant que je devais obeir : il m'a chopé les boules d'une main en les sortant direct de mes shorty et short, en les écrasant à me couper le souffle et en me tirant vers le bas pour me plier devant lui, tout en me tenant en respect par une autre paluche sur la gorge. J'ai gémi et me suis affaissé dès qu'il a relaché la pression sur ma gorge, en maintenant l'écrasement de mes couilles. "alors minus on rale devant le captain ?" et il m'a mollardé la chetron en me cinglant le visage, puis en laissant ses mollards me couler dessus. Malgré la douleur sur mes couilles, l'humiliation m'a fait kiffer et ma teub a gonflé et s'est tendue vers le haut contre mes abdos, bien visible du fait de la tension vers le bas de mes boules. "Alors t'aime ça on dirait te faire dresser ?". Le pote m'a alors laché les couilles et poussé sur ma tete pour m'amener la chetron au sol et m'ordonner de lecher ses skets. J'étais donc torse nu, avec les couilles à l'air et la queue tendue, le visage gluant de mollards, à lécher ses skets quand 2 co-équipiers sont arrivés dans le local. "alors le nouveau, t'as déjà pigé à qui tu dois le respect ici hein ?" à suivre.....

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