Dimanche 31 octobre 7 31 /10 /Oct 08:53

Je suis donc un male, visuellement parlant : à poils, je suis bien monté (queue courbée ves le haut, à gland large), gueule et épaules carrées, torse, cuisses et pubis très poilus - poils noirs épais et frisés en toison. Et je cultive mon physique de male musclé, aidé en cela par mon gout pour le sport, collectif comme au handball ou individuel - mais pas solitaire ! - comme en natation ou jogging. Mes fringues sont généralement de sport, avec un shorty dim bien visible qui "traine" entre short ou jogging et debardeur, la raie du cul pas loin pour les regards avertis : je montre ainsi assez clairement ce que je vaux / veux : me soumettre à un male, très dominant de préférence, qui m'exploite selon ses envies, en profitant de mon physique et de mon mental d'accro aux queues, quelles qu'elles soient. Car à coté de ce look de male, je suis en permanence en posture cambrée à chercher, comme une femelle, une bonne teub décidée à me casser rondelle et chetron. Et je suis un adepte du "ne jamais laisser passer une chance" : j'imagine toujours que ce beau mek sport au regard noir et méprisant voudra bien se soulager les burnes en moi d'une façon ou d'une autre, dès qu'il aura capté mon propre désir bien exprimé, sans me résigner d'emblée à en faire un hétéro intégriste dont je me contenterais d'envier la nana qui doit se prendre, elle, de sacrés coups de queues ! Oh évidemment, beaucoup de ces beaux meks sport au regard noir et méprisant sont hétéro et ne finissent pas avec leur teub en moi ! mais au moins, je profite de tous ceux qui se laissent tenter à se la faire pépon ou à me sauter, et comme çà, je ne vis pas de regrets ! et je garde "en moi" quelques belles expériences, comme ce keuf antillais à qui j'ai tenu tête, sans casque en scooter, pour finir par l'énerver et donc lui donner envie de me punir de mon arrogance, en poussant très loin ma fouille au corps, jusqu'à s'isoler - dans un premier temps - de ses collègues dans un sous-sol du commissariat, pour me niker pendant 25 minutes en m'insultant, la queue, très tendue et fière, juste sortie de son slibard et treillis, enserré contre ce treillis froid et rèche par des bras puissants et en tenaille autour de mon bas-ventre ou du cou ! une bonne fouille en largeur et profondeur, sans ménagement, d'un beau keuf antillais déchainé à vouloir me casser non seulement la rondelle - pari tenu ! - mais aussi le mental en me prouvant qu'il savait me forcer à etre rabaissé à un trou de lopsa dont il s'est servi tant qu'il a voulu, avant de me partager avec ses collègues. Il faut dire que j'ai douté de ma bonne idée à plusieurs reprises : par exemple quand le collègue du keuf antillais lui a répondu par une mise en garde ("fait pas de connerie hein ?") à son annonce à la cantonnade "bon celui-là je m'en charge en bas, le cherchez pas!", formulée tout en me poussant vers un escalier mal éclairé avec un coup de matraque entre mes cuisses, vite suivi d'un appui de cette meme matraque dans ma raie de cul, directement glissée sous mon jogging et mon shorty, déjà sans ménagement ni équivoque ! ouah j'aurais peut-être pas du le provoquer! pas le temps de réflechir et c'est le sous-sol, un couloir qui part vers le garage et moi qui suis poussé à l'opposé vers un local mal éclairé où je l'entends me dire sèchement "à poils j'vais te fouiller !". Juste le temps de baisser shorty et jogging sur mes chevilles, j'entends en parallèle un zip de braguette et je sens de suite un gland contre ma rondelle. Alors que je me penche pour retirer mon jogging et mon shorty complètement, il me dit "reste comme cà" et je m'immobilise ainsi penché, me demandant ce qu'il va finalement me faire. Entre inquiétude et provoc, je bredouille "pitié monsieur", et, par réflexe dominant, le male s'excite encore en me la plantant a donf d'un grand coup de rein ponctué d'un rale et de "ta gueule salope, tu diras pas que tu l'as pas mérité non ?". Et comme je pousse un gémissement à me faire dégommer la rondelle aussi fort, mon bourrin se marre "ah tu croyais pas prendre çà salope hein !?". Très vite, j'ai du réprimer une énorme envie de couiner comme une chienne de me faire fouiller comme ça et dans ces conditions, mais je n'ai pas pu masquer mon morceau dilaté qui balottait entre mes cuisses, et la mouille qui en coulait, en bonne salope qui kiffe de se faire saillir. Mon bourrin, au moment où il passait son bras sous mon ventre pour bien me caler à contre-sens contre lui, a frolé ma teub et a chopé mon gland en tirant dessus "ah mais on dirait que tu commences à y prendre gout, sale chienne !". Il a alors redoublé d'amplitude pour mieux taper au fond de mon cul et n'a pas faibli quand son pote est arrivé en demandant au loin "ca va la fouille, t'as besoin d'aide ?" ; il a carrément dit "ca va mais a plusieurs on pourrait l'explorer de manière plus étendue !" ; sans rentrer dans le local, l'autre a répondu "ok j'appelle des renforts pour t'aider à la maitriser". J'ai alors dit à nouveau "pitié, laissez moi !" car je flippais de ce qu'ils pourraient me faire. Meme conséquence : j'ai pris des coups de rein de ouf et une  bonne tape sur la tete pour me projeter en avant contre une table. Sa teub a alors quitté mon cul, j'ai entendu sa braguette se refermer, j'ai senti ses paluches fermes me tenir les chevilles, pour sortir jogging et shorty d'un coté etlui permettre de fixer avec des menottes chaque cheville à un pied de table. J'ai gémi à me sentir offert ainsi, ma teub dure contre la table froide, et j'ai entendu des voix approcher et plusieurs - 2 ou 3 meks - entrer dans la pièce. L'un a dit "bon alors faut encore la fouiller ?" en posant sa matraque directement sur mon trou en commençant à forcer. Deux paluches gantées de cuir m'ont écarté les fesses et je me suis senti complètement offert à ces meks qui voulaient me faire payer mon arrogance. La matraque s'est enfoncée dans ma rondelle pendant que les paluches forçaient mes fesses à s'écarter. D'un coup, d'autres doigts gantés m'ont forcé la bouche et se sont aussi enfoncés en moi, jusqu'à me donner envie de gerber, mais arretés à temps ; d'un coup, la matraque est sortie de mon cul et je l'ai récupérée à lécher devant, là encore sans ménagement. J'ai ralé mais ai reçu simultanément des coups sur le cul, l'intérieur des cuisses et les couilles et j'ai du vite obéir à bien nettoyer mes odeurs de cul sur la matraque. Puis, dans un enchainement très brutal, sans beauoup de temps pour réaliser, j'ai pris 2 teubs à pépom devant et des séries de coups de reins - 2 meks en alternance ? - qui ont fini de me casser le boule, un vrai démontage en règle qui n'a pas manqué de me faire gicler, ma teub étant frottée contre la table. J'ai alors poussé de petits gémissements qui les ont fait exploser presque en simultané, dans des insultes de "batard", "salope" et autre "sale chienne" qui ne méritait que ça !
Trés vite encore, ils m'ont détaché, fait rhabiller et ramené à la porte du garage d'un "casse toi sale pute et ferme ta gueule sinon tu vas vraiment morfler !"
L'air frais m'a remis les idées en place, et depuis, je porte régulièrement mon casque en scooter, jusqu'au prochain controle où je chercherai la "rencontre"  !

Par sportifsoumisauxqueues.erog.fr - Publié dans : sex - Communauté : sportif viril et clebs soumis
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