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toujours la même semaine de prise en mains par Farid, je sors du bahut avec mes potes et reçois un sms "va filer ton Q bâtard à cette adresse 2e étage droite, tu me rends compte par tel en détails dès que tu sors" ; là j'ai eu comme un vertige, mes potes l'ont remarqué j'ai dis "ça va je vous laisse ciao" et j'ai filé en courant vers l'adresse ; je me suis arrêté pour répondre à Farid, mais j'ai réfléchi un instant à me dire que là c'était super hard car j'étais seul, envoyé en tepu me faire niker, sans être offert comme samedi soir dans un groupe d'actif ou comme la veille à mon reuf et d'autres, mais dirigé en direct ; là était une consigne à exécuter moi-même ; mais au final, j'ai envoyé "OK maître je file VSB Votre Sale Bâtard", car cela me correspondait bien au mental - soumis aux ordres - et au physique - vicelard à me taper des queues !
sur place, je sonne, petit frisson de l'inconnu, la porte s'entrouvre, je pousse, un appart dans la pénombre, une voix dans une autre pièce "à poils salope et à 4 pattes par ici" ; en retirant mes fringues, j'imagine à qui appartient cette voix (plutôt un rebeu mur), puis je me dirige à 4 pattes dans le couloir en réalisant que j'adore cette situation - je sens ma trique et mon cul déjà cambré - à venir chez un inconnu me faire baizer pour mon beauf ! ; arrivé devant une pièce, le mek me dit "c'est là fous-toi sur le pieu sur le dos attrapes tes chevilles pour lever tes pattes salope" ; je m'exécute et aperçois en effet un rebeu plutôt lourd d'environ 50 ans, torse et pieds nus, en jogging, qui monte sur le pieu, sort sa teub du jogging et se glisse contre mon trou pour se projeter en moi à sec et profond ; encore un qui veut me casser la rondelle ! je gémis "ouah" mais couine très vite ensuite et le rebeu se régale de me baiser en m'insultant "t'es qu'une sale pute toi hein ? ", en appuyant de tout son poids sur moi, avant de lâcher son jus au bout d'une dizaine de minutes ; très vite, il s'est redressé et a rangé sa queue, s'est dirigé vers la salle de bains et m'a dis "allez salope casse toi vite fait je m'arrange avec Farid" ; dans le couloir, j'ai réalisé que était ma 1e prestation de tepu, ce mek allait sûrement payer Farid pour m'avoir niké, et je n'ai fait que lui servir de trou sans que mon propre plaisir ne soit pris en compte, le mek se régale dans mon cul c'est tout ; je me suis repoilé, en casant ma queue frustrée comme je pouvais dan mon shorty, et dehors, j'ai appelé Farid ; j'ai eu sa messagerie et ai juste dis "c'est thibeau, mission accomplie" ; quelques minutes après, Farid m'a rappelé en me hurlant dessus, que thibeau il connaissait pas, que je m'appelais sale pute, gros bâtard ou petite chienne, avec échange des adjectifs c'est tout, que j'avais pas dis "maître", qu'il voulait un compte-rendu détaillé des positions, durées, sensations..., et pas d'une autosatisfaction, puisque seuls lui ou le client pouvaient dire "mission accomplie", que je devais exécuter de suite ; il a raccroché brutalement, et quand j'ai rappelé pour donner les détails, il  a rejeté l'appel pour que je passe sur messagerie -j'allais vite voir pourquoi ; j'ai donc expliqué ma baise sur répondeur ; en route pour la maison, j'ai eu un nouveau sms "va te foutre le cul à l'air sur les cartons bâtard", et j'ai répondu ok ;
arrivé dans le hall d'immeuble, j'ai vu 2 rebeus qui étaient à la soirée de samedi dernier- sans doute des baizeurs - qui écoutaient leur téléphone ; en allant vers l'ascenseur, j'ai reconnu ma voix sur le message fait à Farid "il m'a fait lever les pattes en l'air pour me tringler profond....." et j'ai rougi et baissé les yeux, quand les 2 meks ont bien rigolé ; voila donc pourquoi Farid voulait l'enregistrement de détails de ma baize, c'était pour en faire profiter d'autres et faire connaître mes exploits ; dans l'ascenseur j'ai appuyé sur 5 pour monter poser mon sac de cours à l'appart ; mais un des rebeus a bloqué la porte, est rentré me pécho par une oreille pour me pousser vers la porte du sous-sol "alors comme ça tu obéis pas à aller te mettre en position ? dépêche toi d'obéir salope" ; je n'ai pas eu le temps de répondre, j'étais déjà éjecté dans les escaliers ; j suis allé à la cave, ai baissé jean et shorty sur ms chevilles et me suis allongé comme je pouvais, les cartons étant assez écrasés maintenant ; et là en attendant - environ 8 à 10 minutes - je me disais que n'importe quel voisin pouvait venir à sa cave et me voir ainsi, et que je ne pouvais identifier quelqu'un qui arrivait ; j'ai flippé quand j'ai entendu la porte s'ouvrir puis des pas, qui sont venus jusqu'à la cave ; j'ai vite reconnu la voix énervée de mon reuf, qui m'a claqué le cul 5 ou 6 fois à la main, puis qui m'a défait mon ceinturon du jean pour me cogner en gueulant que je savais pas obéir, que Farid voulait que je vienne ici alors que je montais à l'appart....; je n'ai pas pu m'expliquer et Remi a ajouté "écoute bien les consignes je répéterais pas, Farid est très énervé t va pas envoyer de mek là, tu te poils, tu montes à pieds au rez-de-chaussée, tu prends l'ascenseur pour rentrer à l'appart, tu vas dans la piaule et tu te désapes complet sauf le shorty, tu te mets à genoux mains derrière la tête face à la fenêtre et t'attends bâtard exécution !" ; j'étais désolé de se loupé mais il n'attendait pas une réponse,j'ai remis mon shorty et mon jean et suis remonté comme demandé, vers quelle suite ?

8 jours avant son mariage avec ma soeur, Farid (25 ans) a organisé avec ses potes son enterrement de vie de garçon, et j'ai été invité avec mon frère Remi ; j'avais juste 18 ans et l'idée d'une fiesta entre mecs me plaisait assez ; je me suis retrouvé dans un petit appart rempli pour l'essentiel de rebeus, potes ou cousins de Farid ;

On devait être une quinzaine, bonne ambiance, boissons et musiques.....

vers 22h, au milieu d'un groupe, un mec demande à Farid si ça va pas lui manquer de baizer à droite et à gauche, en ajoutant que c'est dommage de pas avoir prévu de quoi baiser ce soir pour finir en beauté ; Farid a rigolé en approuvant et  interpellé Remi "alors rien à m'offrir à baiser ce soir avant de m'offrir la frangine ?" ; très à l'aise, Rémi lui répond aussitôt "si ça te tente, tu peux sans problème baiser le petit cul de Thibeau, t'auras le reuf puis la frangine comme ça !" ; quelques mecs ont sifflé, j'ai senti des paluches fermes sur mon cul et j'ai croisé le regard brûlant de Farid qui s'est avancé vers moi en disant "ça peut être sympa de se faire les deux femelles de la famille" ; déjà sur moi, il a serré ma nuque d'une paluche ferme pour me baisser la chetron sur sa teub, juste sortie de son jean "tiens fais moi bander salope, montre si tu sais faire comme ta soeur", j'ai récupéré un bon morceau propulsé en fond de gorge, j'ai senti mon cul mis à l'air et de suite des doigts me fouiller la chatte, des mollards s'écraser sur

mon cul et des commentaires sur mon caractère de chienne ; c'est clair que, dans l'ambiance, je couinais déjà à couvrir la musique aux plus proches qui m'encerclaient ; soudain j'ai senti qu'on me faisait pivoter et le bras de Farid m'a serré la taille, son corps s'est projeté contre le mien, sa teub me forçant la chatte puis le fond du trou en force ; il a gémi "putain cette chatte elle est bonne t'es meilleure que ta frangine sale bâtard! " et m'a claqué les cuisses de son autre paluche ; en levant les yeux, j'ai croisé le regard méprisant de mon reuf qui me regardait me faire niker par le mec de notre frangine au milieu de ses potes qui l'encourageaient et m'insultaient ; Farid a fini par exploser son jus de male dans mon cul, et s'est retiré dans coup sec qui m'a chauffé la rondelle une nouvelle fois et m'a fait couiner; "ça c'est un couinement de chienne qui appelle encore le male hein bâtard?" a dit Farid en ajoutant "à qui le tour ?" et se plaçant de coté contre mes hanches pour me tenir le cul offert et cambré ; j'ai ainsi senti passé 6 ou 7 queues à la suite, toutes bien remplissantes en largeur et profondeur, certains explosant à m'ensemencer quand d'autres sortaient pour vider leur foutre dans ma gorge, sur mes lèvres.... ; Farid était très excité, il m'a beaucoup insulté, mollardé la chetron, manipulé les hanches pour mieux m'offrir à ses potes et cousins, m'a donné encore sa teub à pépom et m'a de nouveau bourré le cul pour finir, debout plaqué au mur, par me casser la rondelle en me forçant de son gland charnu qui me labourait, le laissant juste à cet endroit avec de petits mouvements secs d'avant en arrière, dont je ne voyais plus la fin ; son kiff - comme j'ai pu le savoir ultérieurement - était d'arriver à me voir dépasser le stade du plaisir et tomber dans la souffrance de ma chatte explosée par tous ces baizeurs, avec finition de sa part, à me distendre encore la rondelle par étirement latéral et frottements ; c'est là ou il m'a amené avec son ardeur, je me suis mis à gémir de pitié, devant mon reuf toujours à m'observer et les quelques mecs qui restaient encore ; Farid a dit "ben Rémi il est pas résistant ton bâtard de cadeau !" tout en me tirant en arrière pour me conduire à la table de cuisine, ou il m'a fait coucher sur le dos, m'a relevé les pattes en me tenant ferme aux chevilles placées vers ses épaules ; mon reuf m'a dit "putain Thibeau donne le à Farid ce cul de bâtard que t'as" et Farid a rigolé "t'inquiète pas Remi c'est pas en demandant pitié qu'il va me calmer, c'est plutôt la misère que je vais lui faire à ton frangin, je déteste la pitié et vaut mieux que je l'entraîne à bien se donner en le forçant à être plus endurant à chaque tournante que je vais lui imposer, regarde ça cette chatte à exploiter qu'il présente !" ;

et Farid est parti dans des va-et-vient hyper puissants, amples et durs, qui ont continué de me faire souffrir, à son immense plaisir ; et d'autant mieux que mon reuf a poussé la perversité à me branler efficacement la queue pour m'amener à jouir en m'inondant de sperme sur le torse, jus qu'il m'a tartiné sur les lèvres et la langue en me disant de me nettoyer et en poussant Farid à poursuivre malgré tout à me démolir le boule "à ce stade post-jouissance ou il est le moins demandeur, ça lui fera le mental !" ; Farid a confirmé qu'il allait pas s'arrêter parce que j'avais joui, que était pas le bâtard qui commandait, et pour une des premières fois ou je me faisais baiser, j'aurais vraiment voulu qu'il arrête ; mais Farid, dont je mesurai alors les performances, a continué à me pilonner à grande vitesse pendant 10 longues minutes avant de me remplir en m'insultant, le regard noir au-dessus du mien ; il est resté en moi encore quelques minutes à reprendre son souffle, sa queue était encore ferme quand il a passé ma rondelle, me faisant gémir - une dernière fois je pensais... ; en fait, il  s'est reculé en me posant les pieds sur la table, jambes repliées, a remballé sa queue dans son jeans, a fini une bouteille de Schweppes, et est revenu sur le coté en me disant "sacré bâtard t'es chaude encore hein ?" ; sans demander pitié, j'ai soupiré en m'étirant pour signifier ma lassitude et c'est à ce moment de relâchement que j'ai senti la froideur du goulot de la bouteille sur ma rondelle, trop tard pour tenter de lui résister; il a alors usé de son pouvoir sur moi en jouant à m'enfoncer la bouteille dans la chatte, en la vrillant, en allers-retours violents, en la poussant à grands coups de poings brusques.... ; je me tortillais sur la table, entièrement sous son emprise, il ne restait plus que 2 ou 3 mecs éméchés qui se marraient et poussaient Farid à continuer ; cela a duré environ un quart d'heure au bout duquel j'ai pris sur moi de réclamer à nouveau pitié pour qu'il arrête ; il a alors retiré la bouteille d'un coup sec, s'est penché sur moi en me hurlant au visage "arrête là bâtard à la seule condition que ta chatte soit à ma disposition tant que j'en voudrais, y compris pour te faire baizer en tepu dans le bois, sur les quais ou aux chiottes, d'accord ?" ; j'ai dis "oui promis" dans un souffle et il m'a fait croire qu'il avait un voisin rebeu de 60 ans à satisfaire de suite, comme je l'avais promis ; mais il a rigolé et m'a jeté sur le palier en me lançant mes fringues et cette menace "surveille tes SMS bâtards et obéi à mes ordres, t'as promis !"

cette année, j'ai emménagé à la cité U et Greg et Julien m'ont aidé avec leur voiture à amener mes cartons ; on se présente au gardien, un rebeu 45 ans environs, très sympa, qui prend mon dossier et dit en regardant Greg "bon t'as l'air musclé mais je vais vous montrer un moyen d'éviter trop de manutention des cartons" ; on le suit dans le bâtiment, beaucoup de couloirs et il nous montre la piaule, puis le moyen d'accéder facilement, par un ascenseur, au sous-sol qui donne direct dans une cour de service ou on peut rentrer décharger en voiture. "A tout à l'heure, tu passeras signer les papiers"

Après quelques trajets pour monter les cartons, je me retrouve avec Greg serré au milieu des paquets, dans l'ascenseur ; toujours chaud lapin, il se colle dans mon dos, me chope les boules à travers le shorty après avoir glissé sa grosse paluche dans mon jogging, et dit en me mordant la nuque "alors ça te plait ton nouveau bordel de cité U?" ; juste le temps de sentir sa teub toute dure contre moi et la porte de l'ascenseur s'ouvre sur Julien "oh vous je vous laisse plus tous seuls, je sens que vous allez faire des saloperies dans un coin !" ; gros clin d'oeil de Greg "ça c'est plus que sûr, je ferai bien une pause" ; je leur dis "allez on décharge ça dans la piaule et encore un voyage" ; on se retrouve donc dans l'ascenseur et là je sens que la prochaine décharge ne va pas concerner les cartons mais leurs teubs ! Julien me chope la nuque pour me pencher la chetron sur son entrecuisses et Greg, cette fois-ci, passe 2 doigts directs dans ma rondelle à me l'élargir ; arrivés au sous-sol, Greg me relève d'une main, en gardant l'autre en profondeur, et me dirige dans un couloir vers la chaufferie, et s'arrête dans un cul-de-sac ; là Julien, appuyé contre un mur, me reprend la tête à 2 mains vers sa teub, qu'il a sorti de son jean, pour me la planter en fond de gorge direct et Greg élargit ma rondelle en écartant ses doigts tout en baissant mon jogging et mon shorty de l'autre main, puis se prend la teub en main et me la plante entre ses doigts, avec le grand coup sec habituel par lequel il me montre, depuis le 1e jour, sa possession de mon trou !

bien qu'habitué de ce type de baize, avec les coups de reins de Greg qui m'étouffent sur la teub de Julien qui vient à notre rencontre pour me l'empaler super loin, je kiffe ce moment de nouveauté, dans ce lieu insolite, et couine bien sous leurs morceaux énormes tous les 2. quand leur plaisir arrive, j'en prends plein le cul et la chetron, Greg me claque le cul en sortant sa teub et en me la filant à nettoyer "lèche salope !" et on retourne aux derniers voyages de cartons.

quand tout est dans la piaule, on redescends à la loge pour les papiers et on retrouve le gardien, toujours aussi sympa "alors bien passé ?", mais avec des remarques très suggestives auxquelles on ne réagit pas, mais qui nous font nous regarder tous les 3 d'un air interrogateur "pas trop fatigants ces va-et-vient dans le sous-sol Greg ? pas de tour de rein en te penchant Thibeau ? vous vous êtes pas perdus dans les couloirs du sous-sol ? ....". Mais le mystère va vite s'éclaircir : après avoir expédié les papiers à compléter, le gardien nous propose de visiter la loge et il nous montre les écrans de contrôle qui lui permettent de surveiller la résidence "tu vois Thibeau t'es tranquille si tu te fais agresser par 2 grosses brutes dans le sous-sol, je verrai tout et pourrai venir à ton secours !" eh là grand sourire et démonstration directe : on découvre alors sur l'écran nos ébats depuis la sortie de l'ascenseur jusqu'au "lèche salope" final (mais sans le son !) ; Julien était le plus gêné, Greg a fini par se marrer en faisant des commentaires sur ses performances apparentes et les effets de ces coups de reins sur mon plaisir ; moi j'ai très apprécié de me voir me faire baiser et surtout d'être là avec mes baiseurs et la gardien, manifestement pas effarouché, à "refaire le match" ; et au bout de quelques  minutes, j'ai senti sous mon jogging des paluches qui ne semblaient pas être à Greg ni à Julien : le gardien s'est mis à me passer la main et des doigts dans la raie ! j'ai couiné et Greg a dit "putain Thibeau tu couines rien qu'à te voir sur l'écran te prendre nos teubs !" et j'ai pu dire "oh ouiii" en réponse quand le gardien a continué à me fouiller, en commentant la vidéo "la il m'a semblé que tu n'avais pas besoin d'aide".

Puis le téléphone de la loge a sonné et Greg et Julien en ont profité pour partir.

Je suis remonté à ma piaule, à la fois excité de la baise avec mes potes dans le sous-sol, et des doigts fermes du gardien qui venaient de me fouiller sans pudeur - c'est clair que la phrase de Greg  n'était pas innocente et qu'il avait vu pourquoi j'avais couiné - ce qui laissait envisager des options "chaudes" ....? Nostalgique aussi de me retrouver ici, seul - pour l'instant. Et enfin cassé du manque de sommeil et des efforts du déménagement. Et encore tout ce bordel à déballer et ranger ! Je décide donc de prendre une bonne douche, je me désappe en éjectant mes fringues à droite et gauche, un peu plus de bordel.... Sorti de douche, pas plus de courage et je m'affale sur le matelas du pieu, pas encore aménagé, mais la fatigue me gagne et j'ai pas besoin de draps avec cette moiteur. Je ne sais pas combien de temps j'ai pioncé ; dans mon sommeil, une sensation familière m'envahit, celle de me faire forcer la rondelle, à la fois doucement mais fermement ; je gémis, couine, et la sensation devient bien réelle quand je réalise, en ouvrant les yeux, que je couine sous les va-et-vients d'une teub qui me saute ! Sensation magique du demi-sommeil où le cerveau ne recolle que lentement les morceaux, je suis où ? qui me baise comme ça, ouah ? .... Et c'est le son de sa voix "donne ton cul salope, y'a pas que Greg qui va se régaler de ton trou aujourd'hui !" qui me ramène à la réalité, comprenant que le gardien est rentré chez - et en - moi. En bonne chienne, je me donne à ses coups de reins, bien cambrée et abandonnée, très excitée encore à me savoir, dès ce 1e jour en citéU, être déjà dominé du boule par le gardien lui-même. Faut dire qu'en bon rebeu, sa tige large et ses mouvements puissants de bourrin me comblaient parfaitement, comme mes gémissements et "oui encore baise-moi bien" le lui montraient. Soudain, il a accéléré, a poussé son grand râle que je m'habituerai à entendre souvent, et il a sorti sa queue d'un coup, a remballé son engin d'une main et a de suite répondu à un appel sur son portable "t'es ou Fred ? je te rejoints je viens de finir un problème de tuyau à déboucher" et ma porte a claqué derrière lui...

J'ai de nouveau fermé les yeux, gardant en moi la sensation physique des coups de queue du gardien et le contact chaud de ce male, même s'il n'était pas oilpé mais juste avec sa teub sortie du jean. Et en me disant que le gardien avait vite pigé qu'il pouvait rentrer comme il voulait chez moi pour me baiser, et repartir direct sans me causer, à part trois mots qui se terminaient pas "salope" ou "chienne". Et à quelle sauce vais-je être mis désormais de sa part, froideur du dominant qui rentre ici quand il veut pour me niker, sans jamais aborder le sujet ? Même attitude devant mes potes qui pourraient être présents ou va-t-il rester en retrait dans ce cas-là ? Va-t-il m'expliquer ce qu'il me réserve ? Pas assez reposé en tous les cas, j'ai de nouveau rempilé pour un somme... on verra après...